Quand on interrogeait le Bouddha sur dieu, sur l’âme, sur la vie éternelle,  enfin sur toutes les croyances habituelles  des traditions religieuses, le bouddha répondait par ce qu’on appelle «des nobles silences». Il ne répondait pas, tout simplement. Une façon de dire: «C’est une question qui ne se pose pas. C’est une question à laquelle nous n’avons pas de réponse, par conséquent c’est une question qui ne se pose pas. Si vous voulez croire qu’il y a une vie éternelle et une existence de l’âme qui survivra à la disparition de votre corps, libre à vous de le croire, et libre à moi de ne pas le croire». Donc… «Seul le silence est grand», comme dit Alfred de Vigny, tout  le reste est faiblesse.

When the Buddha was being asked about God, soul, eternal life, all the traditional beliefs, religious traditions, Buddha answered by what are known as 'noble silences'. He didn't answer, as simple as that. A way to say, 'This is something that should not be asked'. It is something to which we can't find an answer, therefore it should not be asked. If you want to believe in an eternal life, and the existence of a soul which will outlive your body you can believe in this, and I am free to not believe in it. Therefore, 'Only silence is great', like Alfred de Vigny used to say, all the rest is weakness.