Alors c'est assez marrant parce que quand j'ai été au Japon, je suis resté dix jours. Alors j'avais un programme qui était extraordinaire parce qu'ils m'avaient fait tout un programme. Alors je devais faire une conférence à tel endroit, ça se terminera à six heures vingt. Et puis après je reprenais à sept heures et quart un truc qui se terminerait à huit heures dix. Et ça se terminait exactement à l'heure. Si là t'avais pas le temps de la finir.
Et il y a eu une fois... il y a eu une séance qui a été faite où il y avait des chefs opérateurs japonais qui étaient là. Et c'est assez drôle parce qu'on a parlé d'un truc que je connais pas du tout. On n'a parlé que de problèmes syndicaux. Ils ont pas arrêté de me faire chier en me demandant, 'Comment ça se passait, si on pouvait râler en France, si on vous reprenait quand on avait, si on s'était fait remarquer parce qu'on avait gueulé pour les salaires', etc. Enfin des tas de trucs de ce genre-là. Personne n'a dit, 'Qu'est-ce que vous pensez de la nouvelle vision' ou je sais pas quoi.
So it's quite amusing because when I went to Japan, I stayed ten days... so I had a program, which was extraordinary because they had created a whole program for me. So I was supposed to do a conference at such a place, it will end at 6:20. And then afterwards I had another at 7:15 which then ended at 8:10. And it ended exactly on time. Even if you didn't have time to finish it.
And there was once... there was one meeting where Japanese cinematographers were present. And it's quite amusing because we talked about something that I really don't know. We talked about union problems. They kept pestering me by asking, 'How it happened, if we could complain in France, if they took you back on when we had, if you had been noticed because for having moaned about salaries', etc. Well, a whole load of things like that. No one said, 'What do you think of the new vision', or I don't know what.