Alors déjà, je voudrais parler déjà des choses parce que... Pour A bout de souffle, c'était un film qui finalement était... Redevenait... Autant disons techniquement pour moi Ramuntcho et Pêcheur d'Islande étaient des films compliqués parce qu'il y avait de la lumière, donc A bout de souffle dans le préambule était... Pas de lumière, on tourne comme si c'était un reportage. Bon et en même temps il y avait une espèce de simplification. La simplification elle était que Jean-Luc tournait dans l'ordre, bon il tournait dans l'ordre pour deux raisons. Je pense que pour lui ça lui simplifiait la vie mais surtout aussi parce qu'en réalité il n'y a pas de scénario. C'est-à-dire que Jean-Luc il arrivait tous les jours avec sous le bras un grand cahier d'écolier où il avait écrit ce qu'il voulait tourner, les dialogues, etc. Donc je veux dire on tournait dans l'ordre.

So first of all, I would like to talk about the things because... for Breathless, in the end it was a film which was... which became again... As much as as Ramuntcho and Island Fishermen were for me technically complicated films because of the lighting, so Breathless was in the preamble. No lighting, we film as if it were a news report. So and at the same time there was a sort of simplification. The simplification was that Jean-Luc filmed in order, so he filmed in order for two reasons. I think that it simplified things for him but also above all because in reality there is no script. Meaning that Jean-Luc came in every day with his big school notebook where he had written what he wanted to film, the dialogues, etc. So I mean we filmed in order.